| ||||||||||||
En Twoo nos gusta la gente activa. | ||||||||||||
| ||||||||||||
| ||||||||||||
| ||||||||||||
Has recibido esta notificación porque te has registrado como Ricardo (padel13trece@gmail.com) en Twoo - Dar de baja. Massive Media Match NV, Puerta de las Naciones, Ribera del Loira 46, Campo de las Naciones, Madrid, 28042, Spain BE0537240636. info-es@twoo.com | ||||||||||||
Amigos de la Cinemateca - Perspectivas
Conjunto de objetos que desde un punto determinado se presentan a la vista del espectador, especialmente cuando están lejanos.
" Ya es hora que el arte deje de ser bufón de la corte"
Vladiir Mayakovski (1893-1930). Poeta, comediógrafo
Vladiir Mayakovski (1893-1930). Poeta, comediógrafo
viernes, 13 de febrero de 2015
¿Ricardo, dónde estás?
miércoles, 9 de marzo de 2011
Manifiesto a favor Cinemateca-UGT de Sevilla (ASECAN)
La Asociación de Escritores y Escritoras Cinematográficos de Andalucía (ASECAN) quiere expresar su más firme apoyo a la Cinemateca UGT y a su principal responsable, Manuel Gómez Román-Bella, en estos momentos en los que la continuidad de las actividades de este foro cultural se encuentra en entredicho.
La Cinemateca UGT ha venido realizando, desde su constitución hace ya veinte años, una impagable tarea de divulgación de un tipo de cine habitualmente alejado de los circuitos comerciales, un cine caracterizado por su independencia, su variedad intelectual, su compromiso ético y estético.
La pérdida de la Cinemateca supondría un duro golpe para una ciudad, Sevilla, no precisamente sobrada de este tipo de empeños culturales. La Cinemateca UGT es, hoy por hoy, un referente cinematográfico de primer orden en la ciudad, y su continuidad debe primar por encima de cualesquiera otros criterios, incluidos los económicos.
Manuel Gómez Román-Bella ha sido, durante todo este tiempo, la mano firme, la mano cinéfila que ha sabido conducir con rigor una institución a la que el tiempo ha hecho necesaria, tal vez imprescindible, en el panorama cultural sevillano.
La cultura andaluza, los hombres y mujeres que hacen de la cultura su espacio profesional o lúdico, los intelectuales de toda laya, no pueden hacer oídos sordos a una reivindicación tan sentida y razonable como ésta: la Cinemateca UGT, con Manuel Gómez al frente, ha de seguir con su labor de ofrecer buen cine, otro cine, a un público cinéfilo que no se merece perder este foro de genuinas propuestas alternativas.
En Sevilla, a 1 de marzo de 2011
Asociación de Escritores y Escritoras Cinematográficos de Andalucía (ASECAN)
domingo, 26 de diciembre de 2010
Le cinéaste Jafar Panahi ne doit pas retourner en prison / Filmmaker Jafar Panahi must not return to prison!
Nous apprenons avec colère et inquiétude le jugement du Tribunal de la République Islamique à Téhéran, condamnant très lourdement le cinéaste iranien Jafar Panahi. La sentence : six ans de prison ferme, vingt ans d'interdiction d'écrire et de réaliser des films, de donner des interviews aux médias, de quitter le territoire et d'entrer en relation avec des organisations culturelles étrangères.
Un autre cinéaste, Mohammad Rassoulov, a également été condamné à six ans de prison. Jafar Panahi et Mohammad Rassoulov vont rejoindre les nombreux prisonniers qui croupissent en prison en Iran, dans un état de détresse totale. Certains font la grève de la faim, d'autres sont gravement malades.
Que reproche le pouvoir iranien à Jafar Panahi ? D'avoir conspiré contre son pays et mené une campagne hostile au régime iranien. La vérité est que Jafar Panahi est innocent et que son seul crime est de vouloir continuer d'exercer librement son métier de cinéaste en Iran. Depuis plusieurs mois le pouvoir iranien a mis en place contre lui une véritable machine de guerre visant à le détruire, à l'enfermer en le contraignant à se taire.
Jafar Panahi est cinéaste et ses films ont été montrés dans le monde entier. Invité par les plus grands festivals de cinéma (Cannes, Venise, Berlin), il est aujourd'hui empêché de poursuivre son œuvre de cinéaste. La lourde condamnation qui le frappe le prive de liberté, l'empêche physiquement et moralement d'exercer son travail de cinéaste. Il doit désormais se taire, s'interdire tout contact avec ses collègues cinéastes en Iran et dans le monde entier.
A travers cette condamnation qui frappe Jafar Panahi, c'est tout le cinéma iranien qui est manifestement visé.
Cette condamnation nous révolte et nous scandalise. Aussi, appelons-nous cinéastes, acteurs et actrices, scénaristes et producteurs, tous les professionnels du cinéma ainsi que tous les hommes et femmes épris de liberté et pour qui les droits de l'homme sont une chose fondamentale, à se joindre à nous pour exiger la levée de cette condamnation.
Rejoignez l'appel aux côtés de : le Festival de Cannes, la SACD, la Cinémathèque française, l'ARP, la Cinémathèque suisse, le Festival international du film de Locarno, le Forum des images, Positif, la SRF, les Cahiers du cinéma, Citéphilo (Lille), France culture, la Mostra Internazionale d'Arte Cinematogafica di Venezia, Culturesfrance, la Quinzaine des Réalisateurs, Sarajevo Film Festival, Cinéma Gindou, Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir, Centre Culturel Pouya.
ENGLISH VERSION
We have just learnt, with great anger and concern, about the judgement of the Court of the Islamic Republic in Teheran, heavily condemning Iranian filmmaker Jafar Panahi.
The sentence: six years of imprisonment without remission, accompanied by a ban of twenty years on writing and making films, giving interviews to the press, leaving the territory, or communicating with foreign cultural organisations.
Another filmmaker, Mohammad Rassoulov, has been likewise sentenced to six years in prison. Jafar Panahi and Mohammad Rassoulov are going to join the many prisoners now rotting in jail in Iran in a state of total distress. Some are on hunger strikes, while others are gravely ill.
What does the Iranian government reproach Jafar Panahi with? Having conspired against his country and carried out a campaign hostile to the Iranian regime.
The truth is that Jafar Panahi is innocent and his only crime is wishing to continue to freely exercise his profession as a filmmaker in Iran. Over the last few months the Iranian government has put into place against him nothing short of a machine of war in order to destroy him, while locking him up to silence him.
Jafar Panahi is a renowned filmmaker and his films have been shown all over the world. Invited by the greatest film festivals in the world (Cannes, Venice, Berlin), he is today prevented from pursuing his work as a filmmaker. The heavy sentence inflicted upon Jafar deprives him of his freedom, while preventing him both physically and morally from carrying out his work as a filmmaker. Henceforth, he must remain silent, refrain from any and all contact with his fellow filmmakers both in Iran and anywhere else in the world.
Through this sentence inflicted upon Jafar Panahi, it is manifestly all of Iranian cinema which is targeted.
This sentence both revolts and scandalises us. So, let us call upon all filmmakers, actors and actresses, screenwriters and producers, all motion-picture professionals as well as every man and woman who loves freedom and for whom human rights are fundamental, to join us in demanding the lifting of this sentence.
Join the call alongside of
le Festival de Cannes, la SACD, la Cinémathèque française, l'ARP, la Cinémathèque suisse, le Festival international du film de Locarno, le Forum des images, Positif, la SRF, les Cahiers du cinéma, Citéphilo (Lille), France culture, la Mostra Internazionale d'Arte Cinematogafica di Venezia, Culturesfrance, la Quinzaine des Réalisateurs, Sarajevo Film Festival, Cinéma Gindou, Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir, Centre Culturel Pouya.
Un autre cinéaste, Mohammad Rassoulov, a également été condamné à six ans de prison. Jafar Panahi et Mohammad Rassoulov vont rejoindre les nombreux prisonniers qui croupissent en prison en Iran, dans un état de détresse totale. Certains font la grève de la faim, d'autres sont gravement malades.
Que reproche le pouvoir iranien à Jafar Panahi ? D'avoir conspiré contre son pays et mené une campagne hostile au régime iranien. La vérité est que Jafar Panahi est innocent et que son seul crime est de vouloir continuer d'exercer librement son métier de cinéaste en Iran. Depuis plusieurs mois le pouvoir iranien a mis en place contre lui une véritable machine de guerre visant à le détruire, à l'enfermer en le contraignant à se taire.
Jafar Panahi est cinéaste et ses films ont été montrés dans le monde entier. Invité par les plus grands festivals de cinéma (Cannes, Venise, Berlin), il est aujourd'hui empêché de poursuivre son œuvre de cinéaste. La lourde condamnation qui le frappe le prive de liberté, l'empêche physiquement et moralement d'exercer son travail de cinéaste. Il doit désormais se taire, s'interdire tout contact avec ses collègues cinéastes en Iran et dans le monde entier.
A travers cette condamnation qui frappe Jafar Panahi, c'est tout le cinéma iranien qui est manifestement visé.
Cette condamnation nous révolte et nous scandalise. Aussi, appelons-nous cinéastes, acteurs et actrices, scénaristes et producteurs, tous les professionnels du cinéma ainsi que tous les hommes et femmes épris de liberté et pour qui les droits de l'homme sont une chose fondamentale, à se joindre à nous pour exiger la levée de cette condamnation.
Rejoignez l'appel aux côtés de : le Festival de Cannes, la SACD, la Cinémathèque française, l'ARP, la Cinémathèque suisse, le Festival international du film de Locarno, le Forum des images, Positif, la SRF, les Cahiers du cinéma, Citéphilo (Lille), France culture, la Mostra Internazionale d'Arte Cinematogafica di Venezia, Culturesfrance, la Quinzaine des Réalisateurs, Sarajevo Film Festival, Cinéma Gindou, Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir, Centre Culturel Pouya.
ENGLISH VERSION
We have just learnt, with great anger and concern, about the judgement of the Court of the Islamic Republic in Teheran, heavily condemning Iranian filmmaker Jafar Panahi.
The sentence: six years of imprisonment without remission, accompanied by a ban of twenty years on writing and making films, giving interviews to the press, leaving the territory, or communicating with foreign cultural organisations.
Another filmmaker, Mohammad Rassoulov, has been likewise sentenced to six years in prison. Jafar Panahi and Mohammad Rassoulov are going to join the many prisoners now rotting in jail in Iran in a state of total distress. Some are on hunger strikes, while others are gravely ill.
What does the Iranian government reproach Jafar Panahi with? Having conspired against his country and carried out a campaign hostile to the Iranian regime.
The truth is that Jafar Panahi is innocent and his only crime is wishing to continue to freely exercise his profession as a filmmaker in Iran. Over the last few months the Iranian government has put into place against him nothing short of a machine of war in order to destroy him, while locking him up to silence him.
Jafar Panahi is a renowned filmmaker and his films have been shown all over the world. Invited by the greatest film festivals in the world (Cannes, Venice, Berlin), he is today prevented from pursuing his work as a filmmaker. The heavy sentence inflicted upon Jafar deprives him of his freedom, while preventing him both physically and morally from carrying out his work as a filmmaker. Henceforth, he must remain silent, refrain from any and all contact with his fellow filmmakers both in Iran and anywhere else in the world.
Through this sentence inflicted upon Jafar Panahi, it is manifestly all of Iranian cinema which is targeted.
This sentence both revolts and scandalises us. So, let us call upon all filmmakers, actors and actresses, screenwriters and producers, all motion-picture professionals as well as every man and woman who loves freedom and for whom human rights are fundamental, to join us in demanding the lifting of this sentence.
Join the call alongside of
le Festival de Cannes, la SACD, la Cinémathèque française, l'ARP, la Cinémathèque suisse, le Festival international du film de Locarno, le Forum des images, Positif, la SRF, les Cahiers du cinéma, Citéphilo (Lille), France culture, la Mostra Internazionale d'Arte Cinematogafica di Venezia, Culturesfrance, la Quinzaine des Réalisateurs, Sarajevo Film Festival, Cinéma Gindou, Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir, Centre Culturel Pouya.
jueves, 16 de diciembre de 2010
Carta de apoyo a Manuel Gómez
CARTA DE APOYO A MANOLO GÓMEZ
El Centro Cultural Italiano de Sevilla manifiesta su apoyo a la Cinemateca de la UGT, cuyo Director Manolo Gómez trabaja con profesionalidad y dedicación desde hace 20 años para promover el cine europeo en Sevilla.
Gracias al apoyo de Manolo Gómez, este Centro ha organizado en la temporada 2009/2010 un ciclo de cine italiano “ITALIA: UN PAESE, UNA STORIA” dirigido en particular a los estudiantes de italiano de Sevilla de varias instituciones académicas. En esta ocasión el ciclo se organizó con la colaboración de la Universidad Pablo de Olavide.
Confirmamos nuestra intención de proponer un nuevo ciclo de cine en el 2011, un año especial para Italia, ya que se celebra el 150 aniversario de la Unidad del país. Por supuesto, seguiremos confiando en la figura de Manolo Gómez cuya experiencia y cultura cinematográfica es imprescindible para garantizar el éxito de cualquier proyecto de estas características.
La enorme dedicación y entrega de Manolo Gómez ha acercado a miles de sevillanos al cine de calidad, a menudo a pesar de los escasos medios a su disposición. Por todo esto, el Centro Cultural Italiano de Sevilla seguirá apoyando sus iniciativas para la promoción del buen cine en versión original.
Sevilla, 7 de diciembre de 2010
Marina Sciarretta
Directora
Centro Cultural Italiano de Sevilla
Gracias al apoyo de Manolo Gómez, este Centro ha organizado en la temporada 2009/2010 un ciclo de cine italiano “ITALIA: UN PAESE, UNA STORIA” dirigido en particular a los estudiantes de italiano de Sevilla de varias instituciones académicas. En esta ocasión el ciclo se organizó con la colaboración de la Universidad Pablo de Olavide.
Confirmamos nuestra intención de proponer un nuevo ciclo de cine en el 2011, un año especial para Italia, ya que se celebra el 150 aniversario de la Unidad del país. Por supuesto, seguiremos confiando en la figura de Manolo Gómez cuya experiencia y cultura cinematográfica es imprescindible para garantizar el éxito de cualquier proyecto de estas características.
La enorme dedicación y entrega de Manolo Gómez ha acercado a miles de sevillanos al cine de calidad, a menudo a pesar de los escasos medios a su disposición. Por todo esto, el Centro Cultural Italiano de Sevilla seguirá apoyando sus iniciativas para la promoción del buen cine en versión original.
Sevilla, 7 de diciembre de 2010
Marina Sciarretta
Directora
Centro Cultural Italiano de Sevilla
miércoles, 17 de noviembre de 2010
CARTA DE APOYO A MANOLO GOMEZ
El Servicio Cultural de la Embajada de Francia en España sigue y seguirá apoyando como lo viene haciendo desde hace 20 años, el proyecto de la Cinemateca de Manolo Gómez. Se trata de un actor esencial de la vida cultural en Sevilla y de un defensor encarnizado del buen cine en general y del ciné francés en particular. Antes incluso de la llegada de la democracia a España, Manolo Gómez hizo posible que el público de Sevilla tuviera acceso a las obras de los mayores directores franceses, muy a menudo como estrenos en España. Varias generaciones de sevillanos han podido, gracias a él, descubrir lo mejor del cine europeo desde la Nouvelle Vague hasta el cine independiente actual, con el mismo empeño constante para ofrecer una programación de primera calidad.
Manolo Gómez fue condecorado como Caballero de las Artes y las Letras en el año 2001 para agradecerle su compromiso y entrega al servicio de la cultura y por el papel desempeñado en la promoción de la diversidad cultural. Su trabajo ha sido esencial para mantener en Sevilla una oferta cinematográfica diversificada, que no podría desgraciadamente existir en el circuito comercial clásico. Por ello, la Embajada de Francia en España seguirá apoyando las iniciativas de Manolo Gómez para promover una oferta de cine de calidad para los sevillanos.
Sevilla, a 12 de noviembre de 2010
Victoria DI ROSA
Agregada Cultural de la Embajada de Francia en España
Manolo Gómez fue condecorado como Caballero de las Artes y las Letras en el año 2001 para agradecerle su compromiso y entrega al servicio de la cultura y por el papel desempeñado en la promoción de la diversidad cultural. Su trabajo ha sido esencial para mantener en Sevilla una oferta cinematográfica diversificada, que no podría desgraciadamente existir en el circuito comercial clásico. Por ello, la Embajada de Francia en España seguirá apoyando las iniciativas de Manolo Gómez para promover una oferta de cine de calidad para los sevillanos.
Sevilla, a 12 de noviembre de 2010
Victoria DI ROSA
Agregada Cultural de la Embajada de Francia en España
Suscribirse a:
Entradas (Atom)